Le Sevrage Tabac et Sucre ajouté
Objectifs :
Aujourd’hui, nous sommes très nombreux à penser que le pire ennemi de notre corps est le gras. C’est en effet ce que l’industrie alimentaire veut nous faire croire depuis 50 ans. En réalité, le véritable ennemi est le sucre.
Le sucre est le principal responsable de l’épidémie d’obésité déferlant sur l’ensemble de la planète, mais est également une cause majeure de nombreuses maladies mortelles : maladies cardio-vasculaires, cancer, diabète de type 2, mais aussi acné, infertilité…
En plus d’être nocif, le sucre est également extrêmement addictif. Il est 8 fois plus addictif que la cocaïne. Etre dépendant au sucre n’est pas un trouble alimentaire émotionnel, mais simplement un désordre biologique, et ce sont en fait les hormones et les neurotransmetteurs qui créent ces fringales de sucre, nous menant à la suralimentation incontrôlée.
Que fait ce sucre dans notre organisme? Le sucre a la capacité de se lier aux protéines et de former de la glycation. Pour se représenter ce mécanisme c’est comme une caramélisation des cellules, cela va rigidifier les cellules, ce phénomène est à la fois toxique et inflammatoire pour le corps.
Mais le sucre a également un impact au niveau du pH de notre organisme, entraînant une acidose en cas de consommation de sucre importante mais aussi une dysbiose de notre flore intestinale induisant des pathologies digestives diverses.
Le sucre est omniprésent dans notre alimentation, il est important de le réduire au quotidien et de prendre conscience que cette consommation parfois excessive peut altéré notre santé physique, mentale et émotionnelle.
Vaincre votre dépendance au sucre
Retrouver une énergie et un bien-être durable
Reprenez de bonne habitudes alimentaires
Combler les carences et les potentielles surcharges
Combler le manque physique par la réflexologie faciale
Comprendre le lien émotionnel derrière ses envies de sucre
Drainage des organes par de la réflexologie plantaires
Complémentation naturelle
Concept composé de trois méthodes pour une prise en charge globale et durable
Des séances en associant la méthode Chiapi (laser sur des zones acupuncture) et la réflexologie plantaire. Cela permet de combler le manque physique en induisant la sécrétion d’endorphine qui vont saturer les récepteurs morphinique (ceux qui réagissent au sucre) et ainsi couper les envies de sucre et limiter les compulsions alimentaires
Des séances en associant la méthode Chiapi (laser sur des zones acupuncture) et la réflexologie plantaire. Cela permet de combler le manque physique en induisant la sécrétion d’endorphine qui vont saturer les récepteurs morphinique (ceux qui réagissent au sucre) et ainsi couper les envies de sucre et limiter les compulsions alimentaires
Dans le cadre de notre programme de sevrage du sucre, nous utiliserons une technique avancée d’analyse par biorésonance pour détecter d’éventuels blocages dans votre organisme. La biorésonance repose sur le principe que chaque cellule de notre corps émet une fréquence spécifique. En analysant ces fréquences, nous pouvons identifier les déséquilibres ou les anomalies qui pourraient entraver votre capacité à éliminer les envies de sucre. Grâce à cette approche non invasive, nous sommes en mesure de cibler précisément les zones nécessitant une attention particulière et d’adapter notre programme de secours pour maximiser vos chances de succès.
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Le sucre, omniprésent dans notre alimentation moderne, est souvent considéré
comme un plaisir coupable. Si le sucre est essentiel pour fournir de l’énergie à
notre corps, son excès peut être néfaste pour la santé. La consommation excessive
de sucre ajouté, en particulier dans les aliments transformés, est associée à divers
problèmes de santé. Cet article explore les différentes manières dont le sucre
affecte notre bien-être général.
Les différents types de sucre
Le sucre peut se présenter sous différentes formes : glucose, fructose, saccharose,
etc. Le glucose est une source d’énergie indispensable, mais toutes les formes de
sucre ne sont pas égales. Le fructose, par exemple, est principalement métabolisé
par le foie, et son excès peut entraîner des effets délétères, tandis que le glucose
est facilement utilisé par les cellules de notre corps.
Les sucres naturels présents dans les fruits et légumes sont accompagnés de
fibres, vitamines et minéraux qui ralentissent leur absorption. En revanche, les
sucres ajoutés, que l’on trouve dans les boissons sucrées, les pâtisseries ou
encore les plats industriels, sont dépourvus de ces nutriments essentiels.
Le sucre et la prise de poids
Un des effets les plus visibles de la consommation excessive de sucre est la prise
de poids. Les sucres ajoutés sont souvent consommés sous forme liquide (sodas,
jus industriels), ce qui conduit à une surconsommation calorique sans sensation de
satiété. Le sucre stimule la production d’insuline, une hormone qui régule la
glycémie. L’insuline favorise également le stockage des graisses, ce qui peut
entraîner une accumulation de graisse corporelle, en particulier au niveau
abdominal.
Le sucre et le diabète de type 2
L’une des principales conséquences à long terme d’une consommation élevée de
sucre est le risque accru de diabète de type 2. En effet, lorsque l’on consomme du
sucre en excès, le pancréas produit plus d’insuline pour réguler le taux de sucre
sanguin. Avec le temps, les cellules deviennent résistantes à l’insuline, ce qui
perturbe la régulation de la glycémie et conduit au développement du diabète.
Les effets sur la santé dentaire
Les effets du sucre sur les dents sont bien documentés. Les bactéries présentes
dans la bouche se nourrissent du sucre et produisent des acides qui attaquent
l’émail dentaire, causant des caries. Plus la consommation de sucre est fréquente,
plus les risques de développer des problèmes dentaires sont élevés.
Conclusion
L’impact du sucre sur la santé globale ne se limite pas à la prise de poids ou aux
caries. Il joue un rôle dans le développement de nombreuses maladies chroniques.
Il est donc essentiel de surveiller sa consommation et de privilégier les sources de
sucres naturels, présents dans les aliments complets et non transformés.
Dans cet article, nous allons plonger plus profondément dans l’impact spécifique du
sucre sur différentes parties et fonctions de notre corps, notamment le cerveau, le
microbiote intestinal, le système cardiovasculaire, ainsi que ses effets
inflammatoires. Ces mécanismes sont essentiels pour comprendre pourquoi il est
crucial de modérer sa consommation de sucre.
Le sucre et le cerveau : un impact sur les neurotransmetteurs
Le cerveau est l’un des premiers organes à ressentir les effets du sucre. La
consommation de sucre entraîne une libération rapide de dopamine, un
neurotransmetteur associé au plaisir et à la récompense. Cette libération rapide
stimule des circuits neuronaux similaires à ceux activés par des substances
addictives, créant un cycle de dépendance. À long terme, la consommation
régulière de sucre peut altérer la régulation des neurotransmetteurs, entraînant des
troubles de l’humeur, de l’anxiété, voire une dépression.
De plus, des études suggèrent que l’excès de sucre peut accélérer le vieillissement
cérébral et est associé à un risque accru de troubles neurodégénératifs comme la
maladie d’Alzheimer.
Le sucre et le microbiote intestinal
Le sucre a également un effet direct sur le microbiote intestinal, c’est-à-dire
l’ensemble des micro-organismes qui habitent notre intestin. Un régime riche en
sucres raffinés déséquilibre cet écosystème en favorisant la prolifération de
bactéries pathogènes, au détriment des bactéries bénéfiques. Ce déséquilibre,
appelé dysbiose, est lié à divers troubles digestifs, mais aussi à des problèmes plus
globaux tels que l’obésité, le diabète et des maladies inflammatoires chroniques.
Un microbiote sain favorise une meilleure digestion, une absorption optimale des
nutriments, et joue un rôle crucial dans la régulation de notre système immunitaire.
À l’inverse, un excès de sucre peut provoquer des inflammations chroniques de
l’intestin, augmenter la perméabilité intestinale et favoriser l’entrée de toxines dans
le corps, un phénomène connu sous le nom de « syndrome de l’intestin
perméable ».
Le sucre et le système cardiovasculaire
La consommation excessive de sucre est directement liée à un risque accru de
maladies cardiovasculaires. Le sucre, en particulier le fructose, est transformé en
graisse dans le foie, ce qui peut entraîner une accumulation de triglycérides dans le
sang, augmentant ainsi le risque d’athérosclérose, une maladie caractérisée par
l’épaississement des parois artérielles. De plus, la consommation de sucre
augmente la tension artérielle, un facteur de risque majeur pour les maladies
cardiaques.
Des études montrent que les personnes consommant régulièrement des boissons
sucrées ont un risque plus élevé de développer des maladies cardiaques par
rapport à celles qui limitent leur consommation.
Le sucre et l’inflammation : un déclencheur insidieux
Le sucre est l’un des principaux contributeurs à l’inflammation chronique dans le
corps. L’inflammation est une réponse naturelle de notre système immunitaire aux
agressions, mais lorsqu’elle devient chronique, elle est à l’origine de nombreuses
maladies, notamment les maladies auto-immunes, le cancer, le diabète, et les
troubles cardiovasculaires.
Le sucre favorise l’inflammation en augmentant les niveaux d’insuline, de glucose
et d’acides gras dans le sang, qui activent des processus inflammatoires. De plus, il
influence la production de cytokines inflammatoires, des molécules qui aggravent
les réactions inflammatoires. Ce lien entre sucre et inflammation pourrait expliquer
pourquoi le sucre est souvent incriminé dans le développement de pathologies
chroniques.
Finalement…
Le sucre a un impact profond sur plusieurs systèmes du corps humain, notamment
le cerveau, le microbiote, le système cardiovasculaire et les mécanismes
inflammatoires. En réduisant la consommation de sucre ajouté, on peut non
seulement améliorer sa santé globale, mais aussi prévenir de nombreuses
maladies. Une alimentation plus équilibrée, riche en fibres, en fruits, et en légumes,
permet de mieux protéger notre organisme des effets délétères du sucre.
L’addiction au sucre est un phénomène bien réel, de plus en plus reconnu par la
science. Le sucre active des circuits cérébraux similaires à ceux stimulés par des
substances addictives comme la nicotine ou la cocaïne. Cet article explore les
mécanismes derrière cette addiction et propose des pistes pour s’en sortir.
Le mécanisme de l’addiction au sucre
Lorsque nous consommons du sucre, le cerveau libère de la dopamine, une
hormone qui crée une sensation de plaisir. Cette réponse dopaminergique est
naturelle, mais elle devient problématique lorsque le sucre est consommé en
grande quantité et régulièrement. Le cerveau s’habitue à ces pics de dopamine, ce
qui nous pousse à consommer davantage de sucre pour retrouver cette sensation
de plaisir. Ce cycle crée une dépendance qui peut être difficile à briser.
Le sucre influence également les niveaux de sérotonine, une hormone liée à la
régulation de l’humeur. Lorsqu’on consomme du sucre, on ressent un effet apaisant
temporaire, ce qui peut entraîner une consommation compulsive chez les
personnes stressées ou anxieuses.
Les signes de l’addiction au sucre
L’addiction au sucre se manifeste souvent par des comportements
caractéristiques :
– Envies fréquentes et incontrôlables: un besoin urgent et irrésistible de consommer
des aliments sucrés, même sans faim.
– Tolérance accrue: la quantité de sucre nécessaire pour ressentir du plaisir
augmente avec le temps.
– Symptômes de sevrage : des irritations, des maux de tête, de la fatigue ou des
changements d’humeur lorsque la consommation de sucre est réduite.
– Perte de contrôle : difficulté à limiter sa consommation de sucre malgré la
conscience des effets négatifs.
Pourquoi est-il si difficile de s’en sortir ?
Le sucre est omniprésent dans l’alimentation moderne, souvent caché dans des
aliments considérés comme sains, comme les yaourts, les sauces ou les céréales.
Cela rend la réduction de sa consommation d’autant plus difficile. De plus, le sucre
est souvent utilisé comme un mécanisme de réconfort ou de gestion du stress, ce
qui en renforce la dépendance psychologique.
L’impact biologique de l’addiction est également majeur. Les modifications des
circuits cérébraux créent un schéma de dépendance qui ressemble à celui de
drogues comme l’alcool ou la nicotine. C’est pourquoi une simple réduction de la
consommation ne suffit pas toujours à briser le cycle.
Comment réduire son addiction au sucre ?
Bien qu’il soit difficile de se libérer de l’addiction au sucre, cela reste possible avec
de la patience et des stratégies adaptées.
– Réduire progressivement : Plutôt que de supprimer totalement le sucre d’un coup,
il est plus efficace de réduire progressivement les quantités consommées. Cela
permet au cerveau de s’adapter en douceur et de diminuer les symptômes de
sevrage.
– Favoriser des alternatives saines : Remplacer les aliments sucrés par des fruits
frais, des légumes ou des noix peut aider à satisfaire les envies sans provoquer de
pics de sucre dans le sang.
– Comprendre ses déclencheurs émotionnels : Le sucre est souvent utilisé pour
apaiser des émotions négatives. Apprendre à identifier ces déclencheurs et trouver
d’autres moyens de gérer le stress (comme le sport, la méditation ou le yoga) est
essentiel pour réduire les envies de sucre.
– Veiller à un apport équilibré en nutriments : Une alimentation riche en fibres, en
protéines et en graisses saines stabilise la glycémie, réduit les fringales et évite les
pics d’insuline. Manger suffisamment lors des repas principaux permet également
d’éviter les grignotages sucrés.
– Dormir suffisamment : Le manque de sommeil affecte les hormones de l’appétit
(la ghréline et la leptine), ce qui augmente les envies de sucre.
Pour finir, l’addiction au sucre est une réalité complexe qui combine des facteurs
biologiques, psychologiques et environnementaux. Cependant, avec une approche
progressive et des changements de mode de vie, il est possible de se libérer de
cette dépendance. Réduire le sucre, non seulement améliore la santé physique,
mais conduit aussi à un meilleur bien-être émotionnel et mental.