Kate Ashmore

Pour mémoire, le fascia est par définition un organe systémique, une matrice de maintien fonctionnel et de communication, un vaste réseau interne constitué de fibres et de liquide, qui enveloppe chaque cellule et relie tous les systèmes du corps entre eux. Il est sensible au toucher et au mouvement, et il est intimement lié au système nerveux et notre sens de soi. Il a de grandes capacités d’autorégulation par ses propriétés contractiles et communicatives. En fasciathérapie on sollicite sa tonicité et ses capacités de rééquilibrage par des gestes manuels précis et spécifiques dans la douceur, la profondeur et la globalité de la personne.

En cas de sciatiques ou cruralgies résistantes, par exemple, de tendinopathies récurrentes, de névralgies d’Arnold ou pudendales, de lombalgies ou cervicalgies, de céphalées, ou encore des troubles respiratoires ou gastro-intestinaux, de douleurs fonctionnelles liées à la grossesse, dans le sport et la traumatologie aussi, la fasciathérapie a déjà fait ses preuves.

La fasciathérapie s’applique aussi aux cas de troubles aspécifiques : del’inflammation généralisée, de la fatigue, des affections liées au stress et aux syndromes somatiques dont la colopathie fonctionnelle, la fibromyalgie, le « burn-out » et les syndromes anxio-dépressifs. Dans le cas de ce type d’affection, un accompagnement en fasciathérapie peut occuper une place importante dans le processus de guérison.

Je propose des séances et un accompagnement individuel sur rendez-vous au centre de médecines douces à Béziers le mercredi, le vendredi et samedi. Les séances durent 1 heure environ.

La fasciathérapie n’est pas remboursée par la sécurité sociale et ne peut être exercée dans le cadre d’une prescription d’actes de kinésithérapie. Le bilan effectué ne se substitue en aucun cas à un diagnostic médical.